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 Rps de Thalyesin

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Moi moi et moi

Moi moi et moi


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MessageSujet: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyLun 8 Oct - 19:29

Si la journée avait bien débutée, la fin s’annonçait plutôt mal. Comment se faisait-il que Samara venait de perdre ses eaux ? Et ce sang qui coulait de plus en plus ? Il n’avait pas du tout sa place ici celui-là ! Déjà, pour les eaux, ils étaient en avance de deux mois, vu qu’elle était à sa septième semaine de grossesse. Puis ce sang… Thalyesin avait l’habitude de voir du sang, lorsqu’il blessait, tuait ou torturait des gens, mais le sang de sa femme, ça, c’était au chose. D’ailleurs en ce moment, son teint avait prit un sacré coup, devenant tout aussi blanc que celui d’un vampire. En parlant de mangemort, y’a quelques jours avait eu lieu une bataille entre mangemorts et moldus. Bien entendu les mages noirs avaient fait beaucoup de dégâts, et presque tous les mangemorts s’y trouvaient. Et cette Liv Jakobsson aussi y était, tentant une nouvelle fois de tuer sa femme. Par « chance » elle lui avait coupé deux doigts de sa main, mais madame McAllister elle, lui avait coupé son oreille. D’ailleurs cette oreille se trouvait en ce moment même dans un bocal rempli de formol. Mais quelle horreur. Même si Thalyesin n’était pas une chochotte, ça restait glauque et voir l’oreille de son ennemie l’agaçait plus qu’autre chose. Et cette Liv alors… C’était peut-être un mangemort, elle avait le même tatouage sur le bras que Thaly, le même maître et les mêmes ambitions du mal, mais rien allait changer : Thalyesin ne pouvait plus se la voir, elle avait tentée d’éliminer sa femme, et ça, il ne pouvait pardonner. Liv avait touché l’être le plus précieux aux yeux de l’homme, et personne ne devait toucher sa femme, ni même ses enfants pour le futur - pour le futur, peut-être pas, vu que Samara venait de perdre les eaux, se qui signifiait qu’elle allait accoucher.

Voyant très bien que sa femme ne soit pas bien, McAllister préféra l’emmener directement à l’hôpital. Ho là là, Samara venait de lui dire qu’elle n’était pas prête. Lui non plus. Rien. Oui, en fait, rien était prêt pour l’arrivé des deux bébés. Les chambres étaient encore en travaux, il manquait la moitié des accessoires, des vêtements, des jouets pour eux, en bref : ils étaient dans la mouise la plus totale ! Un petit coup de magie pourrait bien les aider, car là, tout s’accélérait. Et pas dans le bon sens. Portant sa femme dans ses bras, Thalyesin marcha - limite il courait - rapidement en direction de l’hôpital des sorciers. Une fois là bas, les médicomages en prendront soin - y’a intérêt car Thaly n’hésitera pas à supprimer un des leurs si quelqu’un échoue, comme la dernière fois ou elle avait faillit mourir ! Le jeune politicien ne pouvait pas transplaner, une fois de plus, puisque là, elle perdait du sang en abondance. La moitié des passants dans les rues se retournèrent sur les jeunes mariés, se demandant qu’est-ce qu’ils avaient ? Mais ça, le regard des passants, Thalyesin s’en fichait complètement. L’essentiel était d’arriver au plus vite à Sainte Mangouste.

Une dizaine de minutes plutard, les McAllister arrivèrent à l’hôpital des sorciers. Bon, là, je vous passe les centaines de malades qui attendaient leur tour. Thalyesin stoppa une médicomage et lui expliqua la situation. Cette sorcière lui dit d’attendre dans la salle d’attente, et qu’un médecin viendra la chercher dans les prochaines heures. NON MAIS ILS SE FOUTAIENT DE QUI LA ?? Les yeux du mangemort se posèrent sur le badge de la médicomage. Dessus, il y avait marqué son nom et son prénom. Le jeune homme pouvait très bien retenir le pseudonyme de cette sorcière, et plutard, il en ferait son affaire. Ça lui apprendra à ne pas vouloir l’aider. Il porta toujours sa chérie dans ses bras, sentant encore le sang couler. Il la regarda, et elle était vraiment pas bien et à moitié consciente. Le mangemort posa délicatement sa bien aimée sur une chaise, et fit apparaître une brancard avec sa baguette magique. Il reprit sa femme dans les bras et la coucha dessus. Taché de sang, il arpenta les couloirs de l’hôpital, à la recherche du service de la maternité. Thalyesin était au premier étage, et ici il y avait que des gens avec des morsures, des griffures, fait par des créatures. Ok, il n’était pas au bon niveau. A l’étage suivant, il y avait des sorciers avec des boutons qui éplorés sur leur visage et tout ce genre de choses. Grimaçant légèrement, il poursuivit à la va vite les autres niveaux, jusqu’au cinquième étage, le dernier. Et là, il crut avoir une crise cardiaque. Dans le cinquième niveau, ce trouvait une boutique et un salon de thé. « Mais c’est ou la MATERNITE ? » dit Thalyesin d’une voix assez forte. Il était tellement inquiet, paniqué et énervé qu’il n’arrivait presque plus à contrôler sa colère et son stress. Un médicomage arriva - si on pouvait appeler ça, un médicomage, vu qu’il tenait le salon de thé - et lui demanda qu’est-ce qui lui arrivait. Une fois de plus, Thalyesin lui raconta tout, sur un ton assez agacé. Le médicomage regarda Thalyesin puis Samara, et de nouveau Thalyesin. « Bien, alors vous allez tourner à droite, puis prendre à gauche. Arrivé à la troisième porte, tournez à gauche puis à gauche et à droite. Montez les escaliers et… » Les nerfs du mangemort étaient en train de lâcher. « Comment voulez-vous que je monte les escaliers, avec ma femme, qui va sûrement accoucher, vu qu’elle a perdu les eaux, et qu’elle perd AUSSI DU SANG ! Accompagnez moi ! » Limite McAllister s’arrachait les cheveux. Le médicomage à la peau noire lui répondit, d’un air très calme. « Monsieur, je ne peux pas abandonner le salon de thé, je suis tout seul pour le tenir et je… » mais le sorcier n’eut pas le temps de finir sa phrase, car un grand bruit se fit retentir dans le salon de thé. Thalyesin venait de faire exploser le salon de thé, avec sa baguette magique. Le médicomage resta sans voix. « Qu’est-ce… vous… vous… » Le politicien le regarda sans le lâcher du regard. Une petite voix à l’intérieur de lui, lui disait de le tuer. L’autre voix lui disait de le garder pour qu’il le guide jusqu’à la maternité. « Conduisez-moi à la maternité. » dit le mangemort. Le médicomage le regarda d’un air très hautain et refusa. « Non, je dois réparer vos dégâts et vous signaler à l’accueil ! Vous êtes un danger et un malade mental monsieur. » Comment rester calme avec de telles accusations ? Ce n’était pas possible. McAllister se leva et plaqua le sorcier contre le mur, le soulevant un peu du sol, et le regardant bien dans les yeux. « Écoutes, ton salon tu peux le réparer avec ta baguette magique. Moi, ma femme est en train de souffrir, elle n’est pas bien et je peux la perdre avec votre connerie de thé ! Alors si tu ne m’aides pas, je ferai en sorte de te faire souffrir comme ma femme est en train de souffrir actuellement ! » dit Thalyesin entre ses dents.

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Pepita Lapina
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Pepita Lapina


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MessageSujet: Re: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyMer 9 Jan - 11:47


Alors même qu'elle voyait s'ouvrir devant eux les portes de cet illustre hôpital sorcier, la jeune femme cessa instantanément de pleurer et se resserra un peu plus encore contre le torse puissant de son amour. Samara ne tremblait même plus, comme figée dans une posture de parfaite petite statue enceinte. Seuls ses prunelles azurées laissaient s'exprimer cette terreur qui se répandait en elle. Bien qu'elle n'ait pas été consciente lorsque, la dernière fois aussi, Thalyesin l'avait amenée dans ces mêmes lieux, la jeune femme fut assaillie par un torrent de souvenirs. Pas d'images , ou seulement des très floues, qui lui revinrent à l'esprit au moment même où les sons et les odeurs l'enivraient de la pire des façons qui était. Ce parfum, aussi fort qu'entêtant, de produits pharmaceutiques qui flottaient dans les airs était encore plus agréable que cet autre, bien plus âcre, que la jeune femme sentait trop bien pourtant. Le sang, la vie qui s'échappait d'elle et de bien d'autres silhouettes entassées dans cette salle d'attente bondée... La Mort rôdait, une fois de plus. Et la dame Mc Allister eut un rictus en songeant que, une fois de plus, la Grande Faucheuse et elle allaient s'affronter. Mais, cette fois, ce n'était pas tant sa propre mort que la jeune épouse craignait mais celles de ces enfants sur le point de quitter son ventre pour voir le jour. Alors ses lèvres tremblèrent et ses yeux vinrent chercher, en vain, ceux de son époux. Non ! Pitié ! Si la perte de ses enfants était le prix à payer pour avoir pu s'en tirer la dernière fois, alors il était bien trop élevé pour elle ! Non ! Jamais ! Cette salope de Mort n'emporterait personne aujourd'hui non plus ! Ses enfants vivraient, et elle aussi !

Samara écouta et regarda, interdite et à peine consciente, son mari qui tentait désespérément de trouver de l'aide. Mais ce lieu où l'on était supposé être soigné semblait pire que la plus stupide des administrations ! Le regard de la poupée russe glissa sur la silhouette de son mari alors qu'il tentait d'attirer l'attention mais, à la réponse qui lui fut faite, la jeune femme soupira tandis que ses lames recommençaient à couler. Des heures ? Mais ils n'avaient pas des heures devant eux ! Tout juste une poignée de minutes. Alors que Thalyesin, aussi fou de rage que d'inquiétude, revenait vers elle en poussant un brancard sur lequel il l'installa de son mieux, sa femme le regarda et posa doucement sa main sur lui en une douce caresse. Elle pouvait sentir son inquiétude, sa peur. Elle ressentait aussi sa rage et sa colère devant le dédain et l'indifférence avec lesquels on les traitait. Et, s'il n'y avait pas eu tant de patients innocents autour d'eux, ou plutôt tant de témoins pour être exacte, Samara savait que son amour aurait pu tous les tuer sur place ! Tout comme elle l'aurait fait elle-même si seulement elle avait été en état de le faire ! Ensemble, pour une fois, ils auraient montré à ces incapables doublés d'abrutis toute la fureur de leur amour sanguinaire. Samara délirait, perdant peu à peu conscience. Déjà elle s'imaginait se relever et, baguette à la main, faire équipe avec son tendre Ange Noir. Oui, elle les voyait déjà, redoutable couple, infliger les pires des tortures et des morts à ces inconscients pas même capables de déceler la détresse de ses parents en devenir. Les jumeaux... Alors que son corps était poussé, brinquebalé d'un étage à l'autre à la recherche d'une maternité qui semblait ne pas même exister, la jeune femme porta sa main sur son ventre. Les contractions, toujours aussi fréquentes, devenaient pourtant moins violentes ce qui ne présageait rien de bon. Et la jeune femme murmura dans un souffle à son amour, amorphe et au bord de la crise de nerfs.


«  Thalyesin ! Thalyesin... Je ne sens plus les enfants... Je ne les sens plus bouger... Non ! Pitié Pas cela... Je ne le supporterai pas ! Thalyesin... Je veux mes enfants ! Je veux nos enfants !  Sauves les ! Je t'en supplie sauves les au moins eux... »



Samara implorait son mari, reportant en lui, comme toujours, sa confiance. Jamais elle n'avait douté de cet homme qui, tout comme était prête à tout pour lui, ferait tout et même l'impossible, pour sauver sa famille. Thalyesin ne craignait rien ni personne. Pas même la Mort qui était comme une compagne de longue date qu'il avait appris à apprivoiser et, même, à dompter. La Mort il en était devenu l'émissaire, la propageant sans jamais faillir. Oui, Thalyesin était un Mangemort redoutable. Mais, là, en cet instant précis, le Mange noir s'effaçait devant l'homme, le mari, le père. Pour l'instant rien ne comptait plus pour lui que de trouver cette damnée maternité où, Samara l'espérait encore plus que lui, ils trouveraient enfin de l'aide. Ses forces diminuaient et son esprit retrouvait ces terres où, lors de son dernier séjour à Sainte Mangouste, elle avait bien failli ne jamais revenir. Son corps devenait plus froid et la jeune femme aurait voulu pleurer sur cette existence qui s'acharnait contre eux. Pourquoi chacun des bonheurs, des joies qui touchaient leur couple, tous ces ces petits riens qui semblaient ne jamais poser de problèmes au commun des mortels devenaient, pour eux, la plus terrible des épreuves. Pourquoi fallait-il, toujours, que leurs vies ne soient qu'une étourdissante succession de sommets vertigineux et d'affres sans fonds ? Pourquoi le bonheur menaçait-il toujours de leur échapper ? Pourquoi, même la naissance de leurs enfants, devait-elle virer au drame ? Pourquoi... Pour...

La jeune femme était sur le point de perdre réellement conscience lorsque le bruit d'une explosion puis celles de deux voix ayant une discussion pour le moins agitée la ramenèrent à sa triste réalité. Ses yeux s'écarquillèrent alors qu'elle voyait, stupéfaite, les gens se précipiter loin de ce qui, il y avait encore quelques secondes, avait du être un salon de thé. Avait été … Car, maintenant, il n'en restait guère plus que quelques débris s'amoncelant au milieu de cendres et de fumée. La jeune femme ne se posa pas même la question de savoir ce qui avait pu causer pareille catastrophe. Parvenant à se redresser légèrement, parvenant même à s'asseoir sur le rebord de ce brancard où son mari l'avait laissée, elle regarda de nouveau celui-ci. Et ses yeux reprirent vie alors qu'elle le voyait tempêter, rugir, pareil à un cyclone prêt à engloutir et a broyer en son œil le pauvre médicomage qui, par son inaction, avait déclenché les foudres de son si tendre mari. Le pauvre... Pauvre petit sorcier dont la vie ne tenait guère plus qu'à un mince, très mince, fil. Agrippant cette baguette qui lui semblait bien lourde d'un coup, faisant de son mieux pour ne pas se laisser happer par une inconscience qui l'appelait si fort, la sorcière lança un sort d'Oubliette à tous ceux qui avaient assisté à la démonstration, aussi colérique que destructrice, de l'homme pour qui son cœur battait de plus en plus fort. Nul ne devait savoir ce que Thalyesin avait fait ! Puis, puisant dans ses ultimes ressources, la jeune femme très bientôt mère, parvint à se lever. Manquant de s'affaler au sol, elle retrouva de justesse un équilibre encore bien précaire. Puis, elle se dirigea vers l'endroit où se tenaient les deux hommes. Pointant sa baguette sur la gorge de l'homme de couleur, glissant sa main de libre dans celle de son époux, sans même plus se soucier de ce sang qui continuait à s'échapper d'elle, la jeune fille murmura d'une voix déjà d'ailleurs mais dont la détermination était sans failles


«  Monsieur... Je vous conseille vivement de ne pas prendre à la légère les propos de mon mari. Sinon, croyez-moi, vous nous supplierez bientôt de vous délivrer de vos souffrances. Et je ne laisserai jamais mon amour vous accorder ce privilège que vous ne méritez pas ! Alors je vous laisse encore le choix...
dit-elle tout en lançant un sort qui commença à entailler les chairs de l'homme qui se mit à glapir comme une vulgaire dinde Obéissez à mon mari et conduisez nous à cette fichue maternité ! Maintenant ! Ou, enlisez vous dans votre bêtise crasse et alors... affrontez seul les conséquences de votre choix. Mais, une dernière précision Monsieur... dit-elle l'oeil luisant de douleur et de frustration et de rage sanguinaire et en regardant l'alliance qui ornait l'annulaire de l'inconscient Thalyesin vous a promis d'endurer les mêmes souffrances ? Moi je vous jure ceci : si je ne me trouve pas à la maternité d'ici cinq minutes alors, ce soir, votre femme et peut-être même vos enfants, pleureront toutes les larmes de leurs corps lorsque l'on sonnera à leur porte pour leur annoncer que votre corps vient d'être retrouvé, terriblement mutilé ! J'aime arracher les oreilles et les yeux pour ma collection privée... Désirez-vous vraiment en devenir une pièce ? J'en doute. Alors réfléchissez et faites le vite ! Je me vide de mon sang et je ne supporterai pas de perdre mes enfants, compris ? » lâcha-t-elle dans un souffle avant d'entailler encore plus, et encore plus profondément, la gorge de l'homme qui, maintenant pleurait comme un gosse.

Samara sourit lorsqu'elle vit l 'homme s'oublier sur lui-même. Bah voilà ! Maintenant elle n'était plus la seule à se vider ! Même si, dans le cas de l'homme, cela était juste pathétique et dégeulasse ! Puis, alors que l'homme, pleurnichant et implorant un dieu invisible de le délivrer de ces deux fous furieux, il invita Thalyesin à le suivre. Tremblant comme une feuille le pauvre bougre les conduisit donc jusqu'à la Maternité. Alors qu'ils y parvenaient enfin, la jeune femme dressa de nouveau sa baguette et, ne tenant pas une promesse qu'elle n'avait faite que pour obtenir ce qu'elle voulait de l'homme, elle l'acheva en y mettant le feu. Mais pas sans, auparavant, s'être assurée que personne ne pouvait la voir. L'homme transformé en allumette géante, s'enfuit en courant, torche humaine qui n'avait pas même l'idée de se sauver en se roulant à terre. Décidément la femme ne regrettait pas sa décision. Un homme avec si peu de cervelle ne méritait pas de vivre ! Se retournant vers son époux elle l'embrassa passionnément avant de lui murmurer en s'évanouissant


«  Je t'aime Thalyesin, ne l'oublie jamais... Je t'aime... Et si jamais il devait m'arriver quoique ce soit alors n'oublies pas que je vivrai toujours. Au travers de nos enfants. Toujours... »


Puis la jeune femme perdit conscience. Samara venait d'user de ses dernières forces pour transmettre un message a son époux. Si jamais celui-ci devait choisir entre sauver les enfants et elle... Alors Samara voulait qu'il choisisse leurs enfants. Pas elle. Au même moment une femme médicomage accourait vers eux. Trop tard ? Espérons que non.


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MessageSujet: Re: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyMer 27 Mar - 23:13

Thé ou café ? Dans ta tronche !
thémis & thalyesin
« Ferme là Hub’ ! Je suis marié avec cette femme parce que je l’aime ! Mais tout ça, l’amour, tu ne connais pas, et tu ne sais pas quoi ? Je te plains ! Je préfère être aimé et aimer une fille et me ramollir, que de rester toute ma vie seul, sans enfant, sans rien. Tes conseils, tu te les gardes et je n’ai AUCUN compte à te rendre » rouspèta Thalyesin en maintenant son regard avec Hubert. Non mais c’est vrai quoi ! Thalyesin avait beau être un mangemort, il aimait cette jolie russe ! Elle était belle, avait un magnifique corps, intelligente, elle savait ce faire respecter, bref, elle avait tout pour plaire, et McAllister avait eu un coup de foudre pour la femme. Peut-être qu’il était moins vif qu’avant, mais il était heureux. Alors ce n’était pas un autre mangemort qui allait lui faire une leçon de morale. D’ailleurs, le politicien n’écoutait pas toutes les bêtises qu’on pouvait lui dire sur son couple. Que ça plaise ou non, il aimait Samara et jamais il ne se séparera d’elle ! Jamais !! « Ok, on va la jouer discret. Je suis d’accord avec toi » dit-il sans savoir ce qui se tramer derrière son dos. Tout en se séchant le corps avec la serviette, il écouta Hubert parler de Thémis. Bordel quel vieux pervers dégoûtant ! Alors, Thalyesin ne put se retenir plus longtemps, et administra un coup de poing à son collègue, et le menaça. Pas possible ça ! McAllister avait beau envie de tuer Thémis, il n’aimait pas qu’on parle d’elle ainsi ! Étrange non ?

Regardant mauvaisement et amèrement Hubert, le politicien regarda la jeune demoiselle lorsqu’elle entra. Il ne put s’empêcher de la regarder, tête aux pieds. Sans trop réfléchir à se qu’il pensait, le mangemort trouva que Thémis était vraiment jolie - et avait aussi de la chance d’être séchée. Quelques minutes après, les trois sorciers transplanèrent dans l’allée des embrumes. McAllister avait encore les vêtements mouillés et la tête lui tournait - bien qu’il soit beaucoup moins bourré qu’avant. Thalyesin pris les devants pour aller à la rencontre des deux silhouettes qui arrivaient vers lui. Il se retourna lorsqu’il vit Hubert retenir Thémis. « Oh merde » murmura-t-il à lui-même, comprenant ce qui l’attendait.

Non, on ne pouvait pas faire confiance aux mangemorts, ça c’était sur ! Ils avaient beau être de la même « famille » et pactiser les mêmes forces du mal, les mangemorts n’hésitaient pas à tuer des collègues, sans regrets et à sang froid. En fait, lorsqu’il était dans sa première année au sein des mages noirs, Thalyesin avait également assisté a des meurtres d’autres mangemorts. Cela lui avait paru amusant… Mais aujourd’hui, il se retrouvait en étant la cible, et franchement, le politicien aurait aimé transplaner, mais il n’était pas apte à le faire.

Voyant Hubert s’apprêter un sortilège, il fut dévié par Thémis, qui se jeta sur lui et lui donna l’ordre de dégager. Mmmh… Elle n’avait pas du tout tord ! Thalyesin alla se planquer derrière un tonneau de vin, en évitant quelques sortilèges lancés par les deux autres mangemorts. Il attrapa sa baguette mouillée et essaya de lancé à son tour, un sort sur un des mage noir… A la place d’avoir un sortilège, un paquet de bulles de savon sortirent à l’extrémité de sa baguette magique. « Ah merci Thémis ! Vraiment je te remercie » hurla McAllister avec une pointe d’ironie. Comment il allait faire maintenant !! Soufflant un bout coup, Thalyesin sortit de sa petite cachette et fonça droit vers un mangemort, le tapant de toutes ses forces. Son collègue, en profita pour lui lancer tout un tas de sortilèges, tels que endoloris, des décharges électriques… Thalyesin cessa de s’acharner sur le mangemort. Hubert lui, en profita pour mettre ses mains baladeuse sur le corps de Thémis. « Alors ma jolie, tu veux jouer les héroïnes ? » ricana-t-il en continuant de toucher le corps de la jeune fille.
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Pepita Lapina
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MessageSujet: Re: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyJeu 28 Mar - 6:14

Thé ou café ...dans ta tronche ?


L'Allée des Embrumes était un lieu réputé, pour ne pas dire mythique, et sur lequel la jeune fille avait entendu dire bien des choses ! Rarement élogieuses il était vrai. Ici se nouaient les plus dangereuses des alliances. Et, ici aussi, nul n'était à l'abris d'un mauvais coup du sort. Voir d'un mauvais sort tout court ! Parmi ceux qui osaient pénétrer dans cette ruelle aux allures d'impasse, certains ne ressortaient jamais. Et leur dossier finissait par croupir dans un entrepôt où les Aurors empilaient les « Affaires classées & Non résolues. ». Mais, jusqu'à ce moment très précis où ils y avaient transplané, jamais la jeune fille n'avait accordé la moindre réelle importance à tous ces racontards, à toutes ces légendes urbaines. Rien que des « on-dit » supposés éloigner les petits curieux ! Oui bien, en l'occurrence, la jeune fille sur le point de porter les couleurs de la Maison de Serpentard, elle y croyait à toutes ces histoires ! L'Allée des Embrumes était un lieu dangereux et elle aurait tout donné et même plus pour ne pas s'y trouver ! Surtout vu la vitesse à laquelle les choses se dégradaient ! Elle qui pensait, pauvre sotte candide, que cette « ballade » serait une simple formalité, une simple réédition de choses, somme toute bien innocentes, que son frère et elle avaient déjà fait tant de fois ! Quelle abrutie elle avait pu être ! Et son frère, lorsqu'il se déciderait à rentrer, aller le sentir passer ! Ca, c'était certain !

«  Alors McAllister ! Comme on se retrouve...
persifla entre les rares dents qu'il lui restait l'une des ombres qui s'avançaient, à pas résolus vers l'homme devenu leur proie. Faisant choir la capuche qui masquait encore les traits de son visage il désigna du bout de son doigt malingre son œil de verre Tu te souviens de cela ? Tu te souviens de ce soir où tu m'as arraché un œil ? Ce soir tu vas enfin payer!Je vais te crever le beau gosse ! »

«  Ne le laissez pas s'échapper bande de minables !
hurla Hubert avant de se retourner, l'air vicieux, vers celle qu'il maintenait toujours fermement par le bras Pendant ce temps je m'occupe de la fille. N'est-ce pas Thé ? »

«  Pauvre connard ! Vous pouvez allez vous faire foutre tes potes et toi ! »
pesta-t-elle avant de le mordre violemment.

Thémis avait beau se sentir complètement perdue, dépassée par une situation à laquelle elle n'entendait pour ainsi dire rien son instinct la prévenait du danger évident. Hubert, malgré le fait qu'elle le connaissait depuis toujours ou presque était un bien plus dangereux adversaire que ne le serait sans doutes jamais l'homme qu'elle voulait tant éviscérer mais que, sans bien comprendre pourquoi, elle cherchait à présent à sauver. Pourquoi n'avait-elle pas pu tenir sa langue bon sang ! Par Merlin il lui aurait suffit de se taire et, maintenant, elle ne serait pas en train de se tordre les chevilles en courant sur ce sol pavé ! Si elle avait su se tenir tranquille -mais autant demander à une nonne de devenir nymphomane!- alors elle ne se trouverait pas dans le pire des pétrins qui soit ! Et merde ! Déjà les ombres s'étaient mises en action. Elles fondaient sur leur proie, prête à en fnir avec lui. La jeune fille pesta quand elle commença à voir les sorts fuser. Elle avait bien tenté de mettre l'Apollon en garde mais celui-ci, sans doutes pris de court, n'eut pas le temps de répliquer. Par contre, il eut celui de se planquer et même, ce qui ne manqua pas de faire bondir de colère la présomptueuse demoiselle, de l'apostropher. Alors qu'elle courrait toujours elle trouva le temps de lui hurler

«  Il n'y a pas de quoi Thaly ! Mais la prochaine fois promets-moi de me laisser te tuer avant qu'on ne veuille le faire à ma place ! Crétin ! »


Dans un moment aussi irréel et dangereux que celui-ci les deux jeunes gens trouvaient encore la force -et un temps qu'ils n'avaient pas même- pour s'insulter et se provoquer un peu plus. Pourtant, alors qu'elle finissait crier un sourire fleurit sur les lèvres si finement ourlées de la jeune fille. Thémis... Il l'avait appelée par son prénom... Comme quoi, quand il le voulait ! Perdue dans des pensées qu'elle ne comprenait pas et, surtout, qu'elle n'aurait pas du avoir, elle se tordit la cheville et, cette fois, ne put empêcher une chute. Râlant alors qu'elle allait se ramasser comme une crêpe au milieu d'un amoncellement de détritus nauséabonds elle ne dut son salut qu'à l'intervention de son poursuivant. Le bras d'Hubert la rattrapa de justesse et, sans la moindre douceur, il la fit se relever, la plaquant tout contre lui. Comme sauveur Thémis se dit qu'elle aurait pu rêver mieux ! Alors que le regard de l'homme commençait déjà à glisser sur ce corps bien trop adulte pour son âge, la jeune fille frissonna. Mais il s'imaginait quoi ce vieux pervers là ? Elle tenta de se débattre, de ruer, mais la Mage Noir était bien plus fort qu'elle. La serrant plus fort au point de la faire crier sous la douleur il la maintint fermement d'une main, croisant celles de la jeune fille derrière son dos. La poussant à reculer, l'acculant au mur, il commença à user de sa main libre pour parcourir son corps. Et les mots qu'il lui adressa, loin de l'impressionner, eurent plutôt le don de la faire sortir de ses gonds ! Lui crachant au visage la demoiselle le défia du regard

«  Héroïne ? Tu m'as bien regardé le pervers ? Est-ce que j'ai une tête de Mère Thérésa ? Non, je ne voulais que rétablir un équilibre ! Ce type est une loque mais trois contre un, surtout alors qu'il est bourré, c'est indigne ! Même pour des abrutis de Mangemorts à la con comme vous !
la gifle qu'elle se prit alors la fit détourner la tête un instant. Riant doucement elle lécha le sang qui s'écoulait de sa lèvre fendue avant de poursuivre plus arrogante que jamais Pas de couilles ! Frapper une fille ? Pitoyable ! T'as rien dans le pantalon et t'as rien dans le crâne Hubert ! Mon frère a raison : t'es qu'une merde ! »

«  La ferme sale gosse ! Ton petit « protégé » avait raison : tu parles trop ! Beaucoup trop !
puis il la gifla de nouveau. La tirant violemment en avant, il la fit passer devant lui et, l'étranglant à moitié d'une main tandis que l'autre continuait à se ballader sur son corps juvénile et désirable, il la força à regarder les supplices que ces deux complices faisaient endurer à McAllister Regardes Devereaux  ! Regardes le ton amant ! Bientôt l n'aura plus rien du bellâtre qui te sautait dessus dans la baignoire ! Bientôt sa gueule d'ange se fera fracasser et il va crever ! Parce que c'est un faible ! Un mec qui aurait pu tout avoir mais qui a commis l'erreur de tomber amoureux ! Tu sais ce que c'est l'amour Devereaux ? Ne t'inquiètes pas je t'apprendrai bientôt ce que cela signifie dit-il en pressant un peu plus son bassin contre celui de la future élève de Poudlard. Puis, léchant sa joue il interpella McAllister Hey McAllister ! Sois tranquille ! Je m'occuperai très bien de la petite poupée sauvageonne ! Si tu n'as pas su l'honorer je le ferai pour toi ! NOUS le ferons pour toi ! Dommage pour toi tu en seras plus là pour... »

Mais la fin de sa phrase se perdit dans ce grognement qu'il poussa soudainement. Se pliant en deux, les yeux écarquillés, il regardait cette main qui venait de lâcher sa proie et qui, après s'être portée à son abdomen, se couvrait de sang. Interdit, il regarda celle qui se tenait près de lui, aussi immobile qu'une statue. Entre les mains de la demoiselle scintillait la lame qu'elle lui avait enfoncée dans le ventre. La plaie était peu profonde mais, sous la surprise et la douleur, il avait desserré son étreinte. Alors qu'elle peinait encore à réaliser ce qu'elle venait de faire, Thémis lâcha la lame et, sortant sa baguette, elle la pointa sur le premier des Mangemorts qu'elle vit. Un Expelliarmus plus tard l'homme valdinguait plusieurs mètres loin du vieux croulant. Alors que son complice se retournait vers Thémis et lui lançait un Endoloris, celle-ci, aussi souple qu'un chat, se jeta au sol, évitant d'extrême justesse d'être touchée. Là, ses yeux tombèrent sur l'homme resté à terre. Ses lèvres se tordirent en une grimace avant qu'elle ne peste contre elle-même. Voilà qu'elle s'inquiésstait pour un parfait inconnu maintenant ! Non, plus un inconnu puisqu'elle connaissait son nom. Thalyesin McAllister. Très beau... Tout comme lui... Voilà que cela la reprenait ? Thémis, ma vieille ! Tu déconnes ! Dégages cette vieille peau avinée de ta tête et ressaisis toi ! Plus vite dit que fait visiblement. Si elle se débarrassait du dernier Mage Noir encore debout alors elle pourrait déguerpir ! L'autre débile n'aurait qu'à se sauver lui-même ! Se redressant en un bond elle lança le premier sort qui lui passa par l'esprit : Stupefix! Heureusement que son esprit, déjà largement orienté vers les sorts offensifs, s'empressait d'oublier les sorts inoffensifs pour ne conserver que les plus redoutables ! Alors que l'homme tombait à terre, prisonnier de ses chairs, la jeune fille souffla. Puis, se remettant sur ses pieds nus, elle détourna les talons et commença à fuir. Mais elle n'avait pas parcouru trente mètres que, déjà, et hurlant après sa propre bêtise, elle faisait demi-tour. Courant vers McAllister, elle tomba à genoux près de lui. Sa baguette se dressa et les sorts de guérison, et avec un frère Mage Noir porté sur la bouteille et bagarreur elle en avait appris plus d'un, fusèrent. Lorsque, dans un sourire elle soupira de soulagement en voyant l'homme se mettre à bouger, elle s'empressa de reprendre un air détaché et agressif avant de l'aider à se relever.

- «  Putain ! Tu devrais te mettre au régime le vioque ! Tu pèses une tonne l'ancêtre !
bougonnant et tentant d'avancer elle aperçut, non loin d'eux, les silhouettes qui se relevaient déjà. Il leur restait très peu de temps pour fuir. Non. Pas fuir. Sauver leurx peaux ! Thémis ne fuyait pas et, quelque part, elle savait que l'homme qu'elle soutenait de son mieux, n'était pas ce mollasson pleutre que les autres pensaient. Réprimant un autre sourire -mais qu'est-ce qu'elle avait ce soir elle?- elle maugréa Au cas où cela t'intéresserait le débile on n'a pas franchement toute la nuit pour se casser ! Alors tu te démmerdes comme tu veux mais tu bouges ton cul ! Et vite! puis, croisant le regard jumeau au sien, elle détourna prestement la tête, ne supportant pas ce trouble que ce simple contact visuel faisait naître en elle et elle murmura à voix basse Il est temps que j'aille consulter moi... Risquer mes fesses pour un connard à la gueule d'ange et aux abdos d'enfers mais marié et dangereux ? Ouais, là, c'est clair, je suis bonne pour l'asile ! »

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MessageSujet: Re: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyJeu 28 Mar - 20:51

Thé ou café ? Dans ta tronche !
thémis & thalyesin
« Clovis ? » murmura Thalyesin en plissant les yeux, pour mieux voir la silhouette qui lui parlait. Lorsqu’il ôta sa capuche, McAllister reconnut très bien Clovis, un ancien ennemi qu’il croyait disparu voire mort. « Tu l’avais mérité ! Si tu tentes quoi que ce soit, tu te retrouveras avec un second œil en verre, ça je peux te le promettre ! » répliqua amèrement le politicien. Thaly était prêt à lui arracher l’œil intact qui lui restait, sans aucune pitié. Clovis était un ennemi du politicien, et Thalyesin avait tendance à balayer tous les ennemis qu’il pouvait croiser sur son chemin. Et Clovis était un ennemi ! Préférant fuir, se cacher le temps de trouver sa baguette magique, McAllister se planqua derrière un tonneau de vin, qui se brisa sous un sortilège lancé par second mangemort. N’ayant pas beaucoup de temps, le mangemort se précipita sur Clovis et mis à jour sa promesse : il lui arracha son œil intact, avant que l’autre mangemort puisse lui lancer un endoloris.

Couché par terre, à moitié dans les vappes et bien secoué, le mage noir leva sa tête quand il entendit Hubert, lui parler, tenant Thémis contre lui. « Ta gueule ! Connard ! » hurla Thalyesin à son interlocuteur, voyant qu’il léchait la joue de la demoiselle. « Archgh mais lâchez moi ! » ajouta le mangemort en se débattant des étreintes du second mangemort. Mais il arrêta de gigoter lorsque Thémis poignarda Hubert. Limite Thalyesin avait envie de féliciter la jeune demoiselle, mais ce furent d’autres mots qui sortirent de sa bouche. « Mais tu es complètement malade ma pauvre fille ! Tu vas avoir de très gros ennuis maintenant ! Pfff !! Gamine ! … » Mais le mangemort qui tenait Thalyesin lui administra un énième sortilège, et l’homme se retrouva inconscient. Clovis, lui, se releva mais se reçu un Expelliarmus de Thémis et valdingua de quelques mètres. D’ailleurs cet homme était aveugle maintenant. L’autre mangemort aussi, se retrouva peu de temps après, sur le sol.

Se sentant étrangement mieux, Thalyesin ouvrit les yeux et vit de magnifiques yeux bleus, qui étaient sur un visage d’ange. Mais la voix de Thémis le fit ramener à la réalité… L’ange était une peste ! « Aie, ouch ! » souffla le mangemort en se relevant et en posant une main sur sa hanche. « Qu’est-ce que tu m’as fait toi encore ? » Apercevant les mangemorts qui se relevaient doucement, McAllister répliqua à la sœur de son ami. « Non, dégages toi, part ! Moi je dois rester, pour régler cette histoire. » Voyant Thémis murmurer doucement, le politicien l’observa. « Tu parles toute seule maintenant ? Et après tu dis que c’est moi qui devient sénile ! » Hubert se releva, mettant sa main au ventre et voyant son sang, il foudroya du regard Thémis et Thalyesin. « Tu vois ça, ma belle ? Tu vas le regretter ! Tu vas en payer pour le prix de ta vie ! » dit -il en rigolant. « Clovis ! Hector ! Occupez-vous de McAllister ! Aucune pitié ! » Clovis mit ses mains en avant pour marcher, et comme il était aveugle, il trébucha d’une branche. « Hubert… Je… Je ne vois plus !! McAllister m’a fait perdre la vue ! » Hubert roula des yeux et ajouta avec un ton d’épuisement. « Ah vrai… Et bien, il faut te venger… Avada Kedavra ! » lança le mangemort en direction de Clovis. « Tu vois Thémis, nous les mangemorts, nous sommes pas fidèles… Chacun pour soit… Alors ton discours sur l’inégalité, tu peux te le mettre où j’pense ! » Grâce à son patronus, Hubert venait de prévenir un second mangemort, pour remplacer Clovis, qui n’avait pas tardé à venir. « Hugues, je pense que tu connais McAllister et la gamine Devereaux… Tues l’homme et rejoins moi après pour la petite aux courbes de femme ! »

Les trois H (Hubert, Hector, Hugues) s’avancèrent vers les deux sorciers. « Dégages bordel ! Va t’en ! » dit Thalyesin en poussant Thémis assez violement. Hector et Hugues coururent et se retrouvèrent devant Thalyesin, qui essaya du mieux qu’il pouvait d’éviter les nombreux sorts. Il se prit un Everte Statis, et McAllister atterrit dans un magasin, en brisant la vitrine. Hubert lui, transplana et revint en une fraction de seconde devant Thémis, et la serrant à la gorge. « Alors, il paraîtrait que tu caches des objets pointus sous ta robe ? Laisse moi voir de plus près, ce que tu possèdes en dessous. » Toujours en serrant la gorge de Thémis, il l’a souleva un peu du sol, et de son autre main, il caressa sa cuisse tout en remontant.
En face, Thalyesin, à terre, pris discrètement sa baguette et essaya de jeter un sort. Mince, toujours des bulles de savon. Alors ça, Thémis allait le payer cher, TRES cher ! Observant autour de lui, il aperçut qu’il était tombé sur la boutique Barjow et Beurk. Excellent… Ce faisant le plus discret possible, il rampa, à la recherche de… Bingo ! D’un objet pointu. McAllister en repéra un poignard bien usé, mais il avait l’air d’être tranchant. « Hey ! Hugues ! Il est là bas ! » hurla Hector en ayant repéré Thalyesin. Le politicien se releva et couru jusqu’au poignard. A peine avait-il eu ses mains sur l’objet que un des mangemorts l’attrapa par les pieds et le fit chuter. Dans un mouvement très rapide, Thaly planta le poignard dans l’estomac d’Hector… Aussitôt, il se décomposa comme un tas de cendres. « Un de moins ! » dit McAllister en plaisantant, regardant Hugues.

Hubert lui, continua la visite de l’anatomie de Thémis. Il lippa ses lèvres goulûment et pris la baguette magique de Thémis et la plaça dans son caleçon. « Si tu l’a veux, viens la chercher ma jolie »


Dernière édition par Moi moi et moi le Ven 29 Mar - 13:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyJeu 28 Mar - 22:45

Thé ou café ...dans ta tronche ?



«  Mais lâchez-le bordel ! Bande de lâches ! Connards!
se surprit-elle à hurler en se démenant comme une furie entre cette main qui l'étranglait et cette autre qui la palpait avec gourmandise Bande de minables ! Bande de chiens !  Vous allez le payer ! »

«  Ho mais regardez-moi ça les gars ! La petite sauvageonne sort les griffes et donne de la voix pour protéger son beau gosse d'amant !
ria Hubert tout en tirant violemment sur les cheveux de la jeune fille et en lui arrachant un baiser. Lorsqu'elle tenta de le mordre il la gifla. Elle retomba, bien sonnée, entre ces mains libidineuses. Alors qu'il commençait à relever sa jupe il nargua une fois de plus son ancien collègue et ami Regardes moi ces jambes de gazelle McAllister ! Sa peau est douce ! Si tu savais ! Mais bon, puisque tu la hais tant cela ne te gênera pas si je fais... ça par exemple ? » dit-il en commençant à caresser l'entrecuisse de la belle adolescente.

«Vire tes sales paluches l'enfoiré ! »


L'instant d'après la jeune fille portait la main à sa poche et en extirpait le couteau qui se planta directement dans l'abdomen de son agresseur. Thémis ne comprenait pas ce qui était en train de se passer. Ce qui était en train de LUI arriver. Elle regardait le corps du mage noir glisser au sol l'air complètement stupéfaite par ce qu'elle était en train de penser. Si elle s'était écoutée alors la jeune fille l'aurait volontiers éventré ! Oui, elle avait voulu le tuer. Pour se protéger ? Non. Pour le protéger lui ! Celui vers qui son regard se tourna, complètement stupéfait et ahuri. Elle était prête à tuer un homme pour un vieillard même pas fichu de se défendre lui-même ? Quoique … Il se débrouillait quand même plutôt bien le croulant. Souriant, aux anges même, lorsqu'elle le vit arracher le dernier œil du dénommé Clovis. Mais elle ne put s'empêcher de hurler quand elle vit l'autre salopard asséner un énième sortilège à McAllister. Alors, sans même comprendre, sans même plus chercher à comprendre d'ailleurs, se laissant guider par ce qu'elle pensait être sa raison ou son instinct mais s'apparentait bien plus à son cœur, elle avait agi. Des sorts avaient été jetés et les hommes écartés. Puis elle était venue porter secours à celui que, pourtant, elle mourrait d'envie de... gifler ? Mordre ? Embrasser ? Défoncer ? Pardon ? Embra...quoi ? Han ! Non mais c'est pas vrai ça ! Tu vas me faire payer ma subite folie toi ! pensa-t-elle tout en laissant son regard se fondre dans celui qu'elle tentait d'aider à se relever.

«  Ce que JE t'ai fait ? Ce que, MOI, je t'ai fait ! Non mais t'es vraiment trop con toi tu le sais ? C'est pas après mes fesses et ma vie que ces hommes en ont je te signale ! C'est ton cul qu'ils rêvent de voir exploser ! Alors la ferme et avances la loque avinée !
puis elle détourna la tête vers Hubert qui se relevait et l'apostrophait. Elle savait qu'elle aurait du le tuer celui-là ! Ne résistant pas à l'envie de se défouler sur la première chose qui lui tomberait sous la main, à savoir McAllister, elle lui asséna une grande et retentissante claque derrière la tête et le bousculant elle ajouta Non mais j'hallucine là ! Si tu n'étais pas venu décuver devant chez moi, si tu n'avais pas dégobillé dans tes cheveux alors rien de tout cela ne serait arrivé ! T'as pas compris pourquoi ce porc qui rêve de me sauter a transplané chez moi ! C'est pour TOI ! Il te cherchait TOI ! Et maintenant c'est de TA faute si je risque mes fesses ! Dieu que ce type pouvait être agaçant ! Non pas parce qu'il l'insultait à tour de bras et n'avait pas râté une seule occasion de la... quoi d'ailleurs ? Peu importait en fait. Si ce type l'agaçait c'était surtout parce que... il lui plaisait ? Bouffonne ! Sombre crétine ! alors qu'il la provoquait une fois de plus elle hurla à lui en vriller les tympans Et séile toi-même ! Je t'emmerde ! Même si je parle toute seule ce sera toujours plus intéressant que les conneries que tu débites à la seconde le « toutou à sa femme » ! »

Mais cette si « romantique » conversation, des plus aimables qui plus était, tourna court lorsque les deux sorciers en fuite, ensemble et bien malgré eux, virent arriver un autre mauvais larron. Hubert avait beau pisser le sang il avait de la ressource ! Et merde tiens ! Deux à ettre et un autre qui réapparaît ! Sans compter qu'ils aimaient visiblement se dégommer entre eux ces timbrés ! Mais qu'est-ce qu'elle était venue foutre dans cette galère elle ? Thémis fut extirpée de ses pensées violemment lorsque la voix du vioque s'éleva et lui ordonna de partir. Elle voulut répliquer mais n'en eut pas le temps. Alors qu'il la poussait, l'écartant -volontairement?- du danger omniprésent, elle recula et tomba sur ses fesses. Et, une fois de plus, elle se retrouva aux prises avec ce porc libidineux de Hubert ! Quelle chance elle avait ce soir-là Thémis n'empêche ! Pestant contre ce foutu Mangemort de ces deux qu'elle ne possédait pas même, elle se releva, prête à régler son compte, de façon définitive cette fois, à cet enfoiré qui, déjà, entreprenait de reprendre sa sale besogne où il l'avait laissée. C'était à dire sous les jupes de la jeune fille qui, cessa de se débattre, au moment même où elle vit, le cœur glacé d'effroi, la silhouette de McAllister passer au travers d'une fenêtre. Là, subitement, son nouveau monde menaçait de s'écrouler. Et ce ne fut que lorsqu'elle sentit la main du porc atteindre le haut de ses cuisses qu'elle réagit.

«  Thaly ! Putain Thaly ! Mais relèves-toi ! Merde ! Non ! Non...
la jeune fille pensait avoir hurlé mais seul Hubert put entendre ces mots qu'elle avait, en réalité, murmuré avec une douceur qui ne lui ressemblait guère. Entendant le rire de l'homme qui tentait de l'agresser, elle posa sur lui le plus sombre des regards J'aurais du te tuer quand j'en ai l'eu occasion ! Espèce de bâtard ! Mais que t'a-t-il fait pour que tu t'acharnes autant sur lui à la fin ? C'est qui ce mec bordel ? »

«  Qu'est-ce que ça peut bien te foutre à toi d'abord ? Je croyais qu'il n'y avait rien entre vous deux ? Hein ? Dis moi Devereaux ? Il t'a touché là aussi le bellâtre ?
dit-il en l'étranglant et en recommençant ses attouchements dégoûtants. Thémis ne pouvait plus bouger, ni même respirer. Son regard vint se poser sur la silhouette, subitement si lointaine et si floue de cet homme qu'elle suppliait intérieurement de se relever et de leur montrer, à tous, ce dont il était capable ! Voyant où elle regardait, Hubert appuya ses caresses et lui murmura dans un baiser de plus Ainsi il te plaît McAllister … Etonnant...Je pensais que tu le haïssais ? »

«  Je le hais connard ! Je vous hais tous d'ailleurs !
mais alors que la baguette de Hubert se levait et se pointait vers l'homme des pensées de la jeune fille, celle ci hurla et, bousculant l'homme fit dévier une fois de plus le sort Nooooon ! »

«  J'en étais sur...
dit-il les yeux pétillant de cruauté et en regardant fixement la jeune fille, d'un air aussi amusé que pervers. Restait à voir si son raisonnement fonctionnait dans le sens inverse... Hubert était prêt à parier que oui. Hélant Hector il ajouta d'une voix moqueuse Changement de programme ! Ne le tues pas ! Pas encore... Thémis va le tuer pour nous ! N'est-ce pas Thémis ? Tu vas bien tuer ton ennemi pour sauver tes si belles fesses ? » dit-il en relevant complètement les jupes de la fille et en dénudant un fessier parfait qu'il se mit à malaxer sans la moindre douceur.

«  Va crever le pervers ! 
mais, l'instant d'après, son arrogance s'envola en fumée quand elle vit, non sans en éprouver un violent haut le cœur, le troisième Mangemort parveir à maîtriser McAllister. Alors que ce Prince des Ténèbres Ca y est je délire encore ! s'en sortait avec la plus parfaite des maestria et des grâces -ouhla ! Thémis manquait de plus en plus d'objectivité!- Hector avait agit en traître et, arrivant par derrière, avait lancé un sort à sa proie le ligotant de lianes solides. Lâchez le ! Lâchez le bordel ! »

Mais le rire et les paroles qui suivirent eurent vite fait de faire comprendre à la jeune fille qu'elle s'égosillait pour rien. Alors que Hubert insérait la baguette de sa victime dans son caleçon et l'invitait à venir l'y chercher, celle-ci fut prise de frissons lorsqu'elle vit Hector ramener son prisonnier jusqu'à eux. Sa dépravation tournait au spectacle maintenant ! De mieux en mieux... Thémis ne put, cette fois, soutenir le regard de McAllister tandis que Hubert la pressait de nouveau contre lui. Une main toujours bien ancrée sur ses fesses il usait de la seconde pour la faire mettre à genoux devant lui. Elle résistait mais elle savait que, si elle n'obéissait pas elle s'exposait aux pires des représailles. Ce que lui confirma son geôlier en lui assurant que, si elle tentait quoique ce soit alors Hector tuerait son si beau protégé à sa place. Lui ou elle la question était simple. Tournant le dos à Thalyesin, elle se défit de l'emprise des mains de Hubert et, sagement, se mit à genoux. Alors que ses yeux arrivaient à hauteur de cette braguette qu'il commençait déjà à défaire, Hubert l'arrêta et lui dit d'une voix mielleuse

«  Sans les mains Thémis ! Si tu veux que j'épargne le copain de ton frère -ou le tien je ne sais toujours pas tiens- il va falloir récupérer ton bien avec tes lèvres ma belle
,dit-il en approchant la tête de la jeune fille de lui et en caressant ses cheveux Et ne songes même pas à me mordre ! Si tu ne fais pas très précisément ce que je te ds alors je le tue, lui, et ensuite je te fais quand même ta fête ! Mais, si tu es très gentille avec moi alors... Peut-être... Peut-être laisserais-je l'un de vous deux sortir vivant de cette histoire. Compris ? »

La jeune fille serrait ses bras autour de son buste, terrifiée mais refusant de le montrer. Opinant docilement de la tête, elle commença à se rapprocher plus, toujours plus. Mais, au dernier moment, elle s'arrêta, ne pouvant pas aller au bout de ses gestes. Hubert eut beau la pousser, tenter de la forcer, Thémis ne bougea pas d'un pouce. Fou de rage le Mangemort attrapa la fille par les cheveux et la relevant, il la plaqua contre le mur. L'instant d'après les mains de l'homme se posèrent sur la gorge diaphane de la jeune fille et serrèrent, fort, tellement fort. Thémis finit par tomber à terre, parfaitement inerte.

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MessageSujet: Re: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyVen 29 Mar - 14:16

Thé ou café ? Dans ta tronche !
thémis & thalyesin
« Quoi ? Pardon ? C’est toi qui m’a laissé rentrer chez toi ! Tu aurais pu me laisser devant la porte d’entrée ! Alors tu ne peux t’en prendre qu’à toi ! Pauvre fille ! » dit Thalyesin juste après avoir reçu une claque derrière la tête. Même si la main du mangemort le démangeait pour taper Thémis, il résista à la tentation pour se préoccuper des trois mangemorts qui s’avancer vers eux. Thaly ne voulait en aucun cas que la sœur de Nic reste, elle courait un trop grand danger, surtout en compagnie de trois pervers, dont le plus gros était Hubert, ce traître. Cet homme c’était rué sur Thémis, qui elle, n’avait pas écouté (ou n’avait pas eu le temps ?) Thalyesin pour s’enfuir. Maugréant, McAllister fit deux pas en direction d’elle pour la libérer des griffes de Hubert, mais à la place, il fut projeté dans un magasin de magie noire, par les deux autres mangemorts. Totalement sonné, le politicien réussi quand même à chopper un poignard et à l’enfoncer dans l’estomac d’Hector. Là pour être réveillé il l’était. L’alcool était toujours présent, bien évidemment, mais il avait toute sa tête - du moins plus de la moitié. Hugues qui pointait sa baguette magique sur Thalyesin - qui lui se trouvait les fesses sur le sol -, fut arrêter par Hubert qui lui ordonna de ne pas lui tuer. C’était quoi encore ces conneries ? Qu’est-ce qu’il avait en tête ce gros porc ? Mais les réponses se trouvèrent très rapidement, car McAllister se retrouva attaché avec des lianes, et il avait beau tenter de sauter, de bouger, rien n’y faisait.

En fait, Hubert avait trouvé un autre plan… Se servir de Thémis pour assouvir ses plaisirs. « Non ! Non Thémis ! » hurla Thalyesin en se débattant comme un fou furieux. « Connard ! Vieux porc ! Tu ne paies rien pour attendre ! » Hugues avait du mal à tenir Thalyesin qui continuait de se débattre, sans s’arrêter. Il devait se défaire des lianes pour arrêter Thémis et tuer une bonne fois pour toute, Hubert. Voyant la jeune Devereaux s’approcher, le mage noir fulmina. « Bordel Thémis ne L’ECOUTE PAS !! Mais lâchez moi ! Arrête toi ! » Mais rien y faisait. Au bout de quelques secondes, Thalyesin arrêta de bouger et se concentra. Il essaya de couper les lianes avec le poignard (qui contenait de la magie noire). En attendant, il du assister avec le plus grand mal, à la scène… Thémis perdit connaissance à cause de Hubert, qui lui avait tellement serré la gorge. « Eh bien voilà Hubert ! Ça t’a servit à quoi de l’étrangler, hein ? Elle ne pourra jamais te faire plaisir en étant inconsciente… Mon pauvre, tu es vraiment bien bête ! » hurla Thaly. « Ne t’en fais pas McAllister ! Dès qu’elle se réveillera, je lui lancerai un Impero… Tu connais ? Pour qu’elle me fasse plaisir et qu’ensuite, elle te tue de ses propres mains. »

Quel con ! Hubert allait le regretter dans pas longtemps… McAllister venait de réussir à couper une liane. Le sort fut rompu. Il donna un coup de coude dans la tête de Hugues, puis couru jusqu’à la portée de Hubert, le prenant par le cou et le serrant. Avant de prononcer quoique ce soit, il jeta un rapide coup d’œil à Thémis… Sauver Thémis ou faire payer à Hubert son audace et sa cruauté ? Thémis… Hubert… « Thémis ! » Thaly planta le poignard dans la main de Hubert et le colla à un vieil arbre qui se trouvait non loin d’eux. « Toi, tu ne bouges pas » Puis, il foutu un coup de poing. Tranquille pendant quelques minutes, le mangemort se précipita sur la sœur de son ami et essaya d’utiliser sa baguette pour permettre à la suisse de respirer convenablement. « Bordel Thémis ! Réveille toi ! » Il la secoua. « Si tu veux dormir rentre chez toi ! Tu vois, j’avais raison : se brosser les dents pour aller au lit ! »
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MessageSujet: Re: Rps de Thalyesin   Rps de Thalyesin EmptyVen 29 Mar - 16:17

Thé ou café ...dans ta tronche ?



«  Mais on dirait que tu trembles petite Thémis ! Si petite gamine qui, bientôt, sera une véritable femme... Tu vas voir ma belle ! Si tu es bien sage alors tu pourrais même apprécier...
avait murmuré Hubert en caressant avec rudesse le visage angélique qui s'approchait de lui d'un air résigné. Alors qu'elle frémissait, semblant hésiter à se retourner devant les cris que poussaient Thalyesin, Hubert sourit et, lui attrapant le menton, l'obligea à regarder vers l'homme toujours attaché Regardes le Thémis ! Ecoutes le hurler pour t'empêcher de te faire souiller ! mais alors qu'elle fermait les yeux, visiblement au bord des larmes et tremblant de tout son corps il la lâcha et rit de plus belle. Regardant McAllister avec un air de défi il persifla Pour quelqu'un qui n'en a rien à foutre de cette gosse -qui n'en est pas une et pour t'être retrouvé sur elle dans la baignoire tu devrais le savoir – tu gueules beaucoup McAllister ! Regarde la Thalyesin ! rugit-il en relevant Thémis et en promenant ses mains sur tout son corps !Regardes la et oses me dire que c'est encore une enfant ! Ses seins... Ses hanches...Ses jambes ! Cette « gamine » comme tu dis est une femme et elle va te le prouver ! il regarda Thémis et lui ordonna, la mettant en garde A genoux maintenant ! Et fais ce que je t'ai ordonné ! Fais le Thémis ou alors je te promets que je le découpe l'autre crétin !  Ce n'est pas ce que tu veux n'est-ce pas ? »

Thémis avait répondu non d'un signe de la tête, parfaitement incapable de parler. Pour une fois elle avait vraiment peur. Pas tant pour ce dégoût et cette horreur qui la tenaillait à l'idée de faire « ça » mais plus à l'idée que quelque chose puisse arriver à Thalyesin. Les mots de l'homme lui revinrent à l'esprit au moment même où ses genoux touchaient le sol humide et froid. Elle l'avait laissé entrer. Il avait raison... C'était de sa faute. Inconsciemment elle avait largement participé à ce désastre. Et, maintenant, elle allait en payer le prix. Alors que la voix de Thalyesin s'élevait derrière elle, lui demandant de ne pas le faire elle frissonna et trembla de plus belle. Et, lorsque son visage, comme attiré par l'homme, se retourna un bref instant, McAllister put y voir une larme couler. Puis, ne supportant plus de le voir ainsi ligoté et en danger, Thémis se retourna et, dans un soupir de résignation, se résolut à obéir. Cela ne serait bientôt plus qu'un souvenir. Elle oublierait. Elle continuerait à vivre... Et, aussi, le « vieux croulant » aussi pourrait être libre. Si elle se motrait docile alors lui aussi pourrait peut-être vivre. Ou s'enfuir même...Thémis ne savait plus quoi faire. Elle aurait voulu disparaître mais ne le pouvait pas. Et sans même comprendre pourquoi elle acceptait cette humiliation, ce sacrifice pour un homme qui lui était étranger et indifférent -oh le mensonge ! - elle s'exécuta. Mais, au dernier moment, elle ne put pas. C'était trop ! Elle n'était pas prête ! Elle ne voulait pas faire « ça » ainsi ! Pas ici, pas maintenant, et certainement pas avec ce porc.

«  Je... Je peux pas ! Je veux pas le faire ! Tues moi si tu veux mais jamais, JAMAIS, je ne te toucherais ! »
avait-elle hurlé entre deux sanglots.

«  Que tu le veuilles ou non si tu savais comme cela m'est égal ! Ta volonté, tes désirs inavoués pour un autre homme, tout le monde s'en fiche ici ! Tu crois quoi Thémis ! Que McAllister lâcherait sa poupée russe pour toi ? Tu rêves là ma belle ! Il se contrefout de ta gueule et même de te voir crever ou non ! S'il hurle c'est pour se protéger lui ! Pas toi pauvre folle ! Toi tu n'es rien pour lui ! Rien qu'un problème dont je vais me faire une joie de le débarrasser ! »


Et il avait agi, étranglant de toutes ses forces la gamine qui, elle, étouffa bien vite. Thémis avait tenté de se débattre mais elle était tellement lasse qu'elle avait fini par renoncer. Après tout... Il fallait bien mourir un jour, non ? L'air commençait à lui manquer et elle sentait les os de son cou s'émietter sous l'emprise de Hubert. Elle tomba violemment au sol et, dans un dernier regard, elle put voir celui pour qui elle avait voulu se forcer, parvenir à se dégager de ses entraves. Tant mieux...Il allait pouvoir se venger et infliger à ces connards la plus belle des leçons.Elle, tout ce qu'elle voulait, c'était dormir maintenant. Elle commençait à sombrer dans une parfaite léthargie lorsqu'une vois se fit entendre, non loin, d'elle. Très proche même. Cette voix... Elle la reconnut immédiatement et ne put retenir un sourire en murmurant des mots que, heureusement pour elle, son sauveteur inattendu ne put entendre ni encore moins comprendre. Des mots qui disaient à Hubert qu'il avait tort. Qu'entre s'enfuir, le tuer ou la secourir c'était la troisième solution qu'il avait choisi. Comme quoi... Mais la douleur à sa gorge était-elle que ses paroles ne parvenaient pas à sortir. Du moins pas correctement. La jeune fille sentit des sorts lui traverser le corps mais, curieusement, ceux-ci étaient doux et chauds. Peu à peu les forces lui revenaient. Et, bientôt, elle ouvrait les yeux. Un instant Thémis se crut arrivée dans un Paradis auquel elle commençait à croire vu qu'un ange se tenait devant elle pour l'accueillir. Mais son sourire se fana dès qu'il prit la parole. Non, ce n'était pas un rêve mais un cauchemar ! Se redressant faiblement, elle massa sa gorge bien rouge avant de marmonner d'une voix éraillée et étouffée

«  La ferme ! Putain tu t'arrêtes jamais toi... Ce que tu peux être pénible ! La prochaine fois que je suis prête à faire une gâterie à un connard pour sauver tes miches je m'abstiendrai tiens ! T'es vraiment trop...
la jeune fille rougit en pensant que le mot qu'elle avait sur le bout de la langue était « beau ». Se mordant violemment la langue pour chasser ces pensées vraiment pénibles, elle s'appuya sur Thalyesin pour tenter de se relever. Mais ses jambes flanchèrent un peu plus . Regardant, l'oeil inquiet, les alentours elle demanda, comme paniquée Il est où ? Il est où ce connard que je lui fasse bouffer ses appendices soit-disant viril ! Il voulait que je les bouffe ? Il les bouffera lui-même ! puis, retombant lourdement encore trop faible pour se lever, elle regarda, paisiblement cette fois, celui qui se trouvait à ses côtés. Son regard était aussi furieux que tendre et , lorsqu'elle prit la parole, Thémis ne savait pas si elle voulait le gifler une fois encore où le serrer dans ses bras tant elle était heureuse de le voir sain et sauf. Finalement elle opta pour la gifleet celle-ci fut violente Putain ! Je te déteste ! Tu m'as fait peur Thaly ! Ca t'amuses de jouer avec mes nerfs l'ancêtre ! J'ai cru qu'ils t'avaient... Enfin merde quoi ! Tu bougeais plus ! Connard ! Me refais plus jamais un coup pareil ! mais alors qu'elle allait encore tenter de se relever son regard fut attiré par une silhouette proche qui dressait déjà sa baguette et la pointait dans leur direction. Regardant Thalyesin elle réagit mu par un instinct qu'elle ne comprendrait que bien des mois plus tard Pousse toi ! »

L'instant d'après le doloris la frappait de plein fouet. Thémis hurla et se recroquevilla au sol. Dieu que cela faisait mal ! Son corps se consumait littéralement de l'intérieur et, de nouveau, elle étouffait. Son corps était pris de soubresauts et, pendant un instant, elle se crut mourir. Mais la douleur cessa aussi vite qu'elle était venue. Ses yeux s'ouvrirent pour trouver devant elle des silhouettes qu'elle eut du mal à distinguer. Thalyesin était là, c'était certain. Et Hubert, elle le voyait, semblait être parvenu à se détacher de cet arbre auquel il avait été cloué. Mais, elle eut bien du mal à reconnaître la silhouette qui avançait vers elle , baguette à la main et qui la regardait d'un air goguenard. L'homme, Hector en l'occurence, semblait avoir bien retenu les paroles de son pote le porc pervers car, avant même qu'elle n'ait pu esquisser le moindre egste pour esquiver, Thémis se prenait un Impero en pleine face. Et, si cela n'était pas douloureux, cela faisait un drôle d'effet quand même !

«  Lèves toi Thémis ! Debout ma belle marionnette ! Lèves-toi et viens à nous ma douce !
dit Hector entre deux rires. La demoiselle tentait de résister mais sa volonté était plus mollasonne qu'une guimauve et, pestant intérieurement, elle fit ce qu'on lui ordonnait de faire. Alors qu'elle passait devant Thalyesin, elle le regarda. Elle aurait voulu lui parler mais elle ne le pouvait pas. Laisse le Thémis ! Viens à nous ! Maintenant ! puis, lorsqu'elle arriva à leur hauteur, Hubert ayant rejoint son ami et tous deux savourant le fait de la voir ainsi soumise, il l'attrapa par la taille et l'embrassa avant de lui murmurer C'est bien Thémis ! Tu as été très méchante avec Hubert toue à l'heure et je devrais te punir pour cela. Mais je vais te donner une autre chance. Embrasse le Thémis ! Embrasse le avec fougue et passion ! l'instant d'après la pauvre jeune fille se soumettait, attrapant la nuque de ce vicieux de Mage Noir et en lui offrant un baiser passionné. Pendant ce temps là les deux hommes l'encadraient et pressaient leurs corps contre le sien, laissant déjà leurs mains errer dessus. Pis, dans un clin d'oeil complice qu'ils échangèrent, Hubert tendit le couteau ensorcelé a la jeune fille avant que Hector ne lui donne son dernier ordre. Prends cette arme Thémis et tues le ! Tues McAllister ! Tues le et reviens avec nous qu'on finisse de s'amuser tous les trois ! » dit-il en lui arrachant un baiser et en malaxant sa poitrine.

Comme un zombie, Thémis se saisit de la lame et, d'un pas lent et hésitant, se dirigea ver sa cible. Son regard était absent, tout comme sa volonté n'était plus. Elle n'était plus qu'une ombre que manipulait à leur guise ces deux hommes sur le point de faire d'elle une criminelle dépravée. Thémis se jeta sur Thaalyesin et, d'un geste rapide, plaça la lame sur sa gorge. Le sang allait couler. Pourtant, au dernier moment, sa main trembla... Ses yeux ! Ses yeux si semblables aux siens ! Hector hurlait, s'impatientait , soutenu et encouragé par Hubert qui lui hurlait de le tuer.. Thémis appuya la lame mais, elle tremblait. Thalyesin parlait mais elle ne semblait pas l'entendre. Ou ne pas le comprendre. Elle devait lui ôter la vie ! Elle le devait ! En elle une lutte des plus âpres se menait. L'Imperium était un sort redoutable mais il pouvait être combattu, elle le savait. Elle devait savoir, faire le point. Elle devait comprendre pourquoi elle hésitait autant à tuer cet homme qui ne lui avait , en quelques heures, apporter que des ennuis ! Elle hésitait, sa main tremblant de plus en plus. Les deux hommes derrière elle riaient, lui intimaient l'ordre d 'en finir mais, elle, e le pouvait pas. Thalyesin McAllister. Elle le détestait, l'insultait de toutes ses forces mais, même si elle avait menacé à plusieurs reprises de le tuer, maintenant qu'elle en avait l'occasion elle en était incapable ! Vraiment incapable ! Et, lui, aussi, pourquoi ne faisait-il rien pour se défendre ? Pourquoi ne la frappait-il pas ? Thémis était perdue ! Elle sentait sa résistance faiblir et savait que, d'ici peu, elle ne pourrait plus que se résoudre, se soumettre et... obéir. Et elle s'y refusait. Regardant Thalyesin dans les yeux, ne se concentrant plus que sur ce regard d'ange, elle lui sourit timidement avant de , dans un ultime effort sur elle même pour lutter contre le sortilège dont elle était prisonnière , elle retourna la lame contre elle-même.

«  Je peux pas faire ça Thaly... Je peux pas te tuer...Toi ou moi l'ancêtre ? »
dit-elle dans une dernière bravade.

L'instant d'après la lame frôlait l'endroit où battait son cœur d'adolescente. Thémis allait se suicider. Mourir plutôt que de se soumettre. Mourir plutôt que de le tuer, aussi. Surtout même. Lentement, la lame s'enfonçait déjà en elle.



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